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mercredi, mai 26, 2004

Monaco - Porto

Quand les deux passions de Wilou se rejoignent.

Hips.



:: par leeloo à 20:54 ::
 
 
lundi, mai 24, 2004

Cher binome

Je t'offre ce 20 au projet.

Félicitations pour ton 12 en stat.



:: par leeloo à 23:47 ::
 
 

Les stats et moi, une histoire d'amour


- bah alors? je croyais que tu venais pas ce matin
- en fait j'attends une copine, elle est en retard et il fait froid dehors

- monsieur c'est pas Sn mais 2 Sn
- oui enfin je pense pas que ça change grand chose
- nan bien sûr, c'est juste le double

- tu vas plus aux td de stat?
- nan il fait que des fautes
- ouais mais bon...
- bah quand même. il m'a mis 8,5 alors que j'avais 7,5

- tu vas au dernier cours de stat?
- oui
- c'est bien
- faut que je prenne le prof en photo

- pourquoi t'es partie du controle au bout d'une demi-heure?
- j'avais faim


Ça, c'est pour les gens qui ont trop cru que j'étais sérieuse. Faut qu'ils arrêtent de m'idolatrer à tort.
D'ailleurs pour casser davantage le mythe, je viens de me rendre compte que j'avais envoyé à une école un chèque qui était destiné à une autre.
(bah ouais j'envoie des chèques maintenant puisque ça suffit plus de travailler)

Bon en même temps, encore une fois je rigole pask'on a toujours pas eu nos notes de soutenance. (aujourd'hui, dit-il depuis vendredi)


:: par leeloo à 11:57 ::
 
 
dimanche, mai 23, 2004

Info ou intox?

- eh mais il s'est trompé le prof dans la fonction de calcul prop
- où ça?
- bah là, y a pas que vrai et vrai qui donnent vrai, y a faux et faux aussi... euh attends... vrai et faux c'est faux, faux et vrai c'est faux, faux et faux... ah nan... vrai ou faux c'est vrai, et faux ou vrai c'est vrai, c'est dans le ou qu'y a trois vrai, donc faux et faux c'est faux, mais oui! c'est vrai...



:: par leeloo à 17:31 ::
 
 
samedi, mai 22, 2004

Ma vie est un projet d'info

Tout-à-l'heure, j'ai perdu 3 à 5 au morpion.
J'étais contente.
J'ai été battue par mon propre jeu, celui que j'ai conçu de mes propres mains, avec ma propre tête.
J'ai gagné 5 à 3.
Chaque défaite est une victoire.
Comme dans la vie. Chaque consécration a été le fruit d'un échec.

Hier, après m'être moquée trop vite des gens sans mérite qui ont demandé les mêmes écoles que moi, j'ai reçu la convocation qui m'a causé tant de soucis ces derniers jours.
Je réalise par la même occasion que, même si c'est déjà un pas de fait, ce n'est pas très significatif. Bien-sûr, je ne pars pas défaitiste, mais je préfère ne pas m'envoler avant d'avoir décollé. Même si rien n'est gagné, je donnerai le meilleur de moi-même, motivée par chacun de mes échecs.
Aidez moi à ne pas les oublier...

Every time you lose, you're a winner.



:: par leeloo à 23:12 ::
 
 
vendredi, mai 21, 2004

Mal à la main, pause blog





Bon en meme temps, je rigole paske les notes de soutenance ne sont toujours pas arrivées sur le site du prof... (vive les ponts)
En attendant, je m'en vais recopier ma lettre une dixième fois moi.



:: par leeloo à 11:08 ::
 
 
jeudi, mai 20, 2004

Un mois non stop

Je crois qu'il est bon de préciser qu'une petite imprécision s'est glissée dans mes derniers posts.
Pask'en me parodiant, Marvin et Manon (aux 6 et 7 mai) m'ont fait comprendre que mes il, il, il, il, il, il, etc... prêtaient souvent à confusion, je me suis permis de vous faciliter la lecture en appelant "il", trois personnes différentes. Enfin pas ""il"", mais "il"... sans les guillemets quoi. (bon faut vraiment que je reprenne mes noms)
Donc en fin de compte ça a foutu encore plus la pagaille paske mon binome de projet c'est bien celui qui a eu 17 en proba au premier semestre, mais ce n'est pas celui qui a reçu une convocation pour une école que je demandais et qui a rencontré mon ex prof de maths aux yeux bleus, qui n'est lui-même pas celui qui a copié sur moi et après moi pour la banque et qui a été pris.
Non il ne s'agit pas d'une même personne (je l'aurais matraqué), mais bien de trois différentes, même si ça ne divise en rien les conséquences de ces injustices par trois.

Aujourd'hui, loin de mes octonomes, j'ai discuté deux heures avec un mec de mon amphi que j'ai connu par l'un d'eux. Deux heures à le convaincre, malgré tout ça, qu'il ne devait pas se laisser démonter par les remarques désobligeantes des gens qui réussissaient pask'ils avaient des facilités, qu'il ne fallait pas baisser les bras avant d'avoir essayé, et qu'il fallait arrêter de voir la session de juin comme un tremplin vers celle de septembre.
Deux heures après lesquelles il m'a surprise en me disant qu'il me trouvait gentille, mais de la gentillesse des gens qui ont trimé pour en arriver là, qui ont une vraie valeur des choses et des gens.
"T'es forte, toi", a t-il conclu.

Oui, je suis forte. Non je n'ai pas baissé les bras. J'ai passé ma semaine à méditer seule à la bibliothèque, isolée des autres, oui je me suis demandé pourquoi je continuais si ça rapportait plus de ne rien faire, et non je n'ai pas laissé tomber.
Je n'ai jamais laissé tomber. Chacun de mes échecs a été un prétexte pour que je me donne deux fois plus encore. Et cette fois non plus, je ne me laisserai pas faire. Je ne forcerai aucune banque à me recruter, je n'obligerai aucune école à m'accepter, je ne dénoncerai à personne les magouilles des gens qui ont été pris à ma place, mais je vais leur montrer et me prouver, que si je suis refusée ce ne sera pas parce qu'ils auront été meilleurs que moi.
Je vais travailler comme une dingue pendant un mois, jusqu'à mon dernier examen, comme je n'ai jamais travaillé avant. Je vise haut. Très haut. Et je compte bien atteindre mon but.
Et quand je l'aurais atteint, ils pourront partir, intégrer leurs écoles, mais ils auront sur la conscience que si, comme moi, ils n'avaient du leurs résultats qu'à eux mêmes, ils n'en seraient jamais arrivés là.
Maintenant il faut juste que j'arrête de pleurer parce que je me trouve nulle de penser comme ça, d'être tombée si bas, aigrie par trop d'efforts jamais récompensés. Il faut que mon travail arrive à la hauteur de ma motivation, parce que j'ai une putain de rage là.
Et je continue à nourrir cette rage parce que dans deux jours j'aurai ma note de soutenance, et si j'y trouve la mauvaise surprise que je redoute, il ne faudrait pas qu'elle me décourage.



:: par leeloo à 00:36 ::
 
 
mardi, mai 18, 2004

Mais naaaaan!?!

C'est pas possible, y a une ligue contre moi là ou quoi?
J'avais postulé pour un job d'été dans une banque.
Dans plusieurs banques même.
Dans toutes les banques de Paris même.
Mais que des banques paske je voulais faire que ça, travailler dans une banque.

Lui, il avait demandé à travailler dans un supermarché.
Et quand il m'a entendu parler de banques, il a postulé à son tour.
Après moi.
Il se fichait d'être pris dans une banque ou dans un supermarché, du moment qu'il avait son job.
Il aurait été aussi bien standardiste dans une banque que boucher dans un supermarché.

Il a été pris!
Dans la banque que je préférais!
Alors que j'ai été refusée!
Alors que j'ai postulé avant lui!
Alors qu'il a même pas envoyé de CV, de lettre de motivation!

Putain mais....



:: par leeloo à 19:35 ::
 
 
lundi, mai 17, 2004

Et par dessus le marché...

il a rencontré mon ex prof de maths aux yeux bleus ce week-end en allant retrouver des amis, pendant que je révisais chez moi comme une dingue...

Y a donc plus de justice?



:: par leeloo à 18:58 ::
 
 
vendredi, mai 14, 2004

Parce que je stresse

... en silence.
Parce que je n'arrive pas à finir mon café.
Parce que j'ai une boule au ventre. Parce que j'ai un noeud au coeur.
Parce que j'ai soutenance dans trois heures.
Parce que j'ai controle dans quatre jours.
Parce que j'ai fait 'notre' projet. Parce qu'il a révisé 'ses' maths.
Parce que je revois la scène du premier semestre.
Parce que quand je travaille, ça profite aux autres.
Parce que quand j'arrête, ça ne pénalise que moi.
Parce qu'il a reçu une convocation pour une école que j'ai demandée.
Parce qu'il a eu la mention l'année dernière.
Parce qu'il a eu trois points de plus que moi à un projet qu'on lui a prêté.
Parce que j'ai raté cette mention de peu.
Parce que le projet que j'ai fait seule ne méritait pas ces trois points.
Parce que je n'ai pas de facilités.
Parce que je travaille toujours deux fois plus que les autres.
Parce que je redouble d'efforts pour arriver au même niveau qu'eux.
Parce qu'aujourd'hui plus que tout, vous ne pourrez pas dire "tu t'en fous des autres".
Aujourd'hui plus que tout, je vois ces autres. Je me compare à eux.
Aujourd'hui plus que tout, ils sont là, ils me barrent la route.
En ayant moins travaillé. En ayant été moins honnête.
Parce que dans trois heures, il aura la même note que moi.
Parce que dans quatre jours, il aura plus que moi.
Parce que ça a toujours marché comme ça.
Parce qu'aujourd'hui, ce n'est même plus cette injustice que je condamne.
Aujourd'hui, je me dis juste que moi aussi j'aurais aimé avoir 17 en proba.
Plus que tout, je maudis ce 12,8.
Je me dis que moi aussi j'aurais aimé avoir ces trois points au casse-briques.
Cette mention.
Aujourd'hui, je me dis que je ne serai prise dans aucune école.
Que ce ne sont pas les efforts qui comptent, mais les notes.
Aujourd'hui je me dis que tout ça me fatigue. Pour rien.
Que "ça te servira plus tard" n'a aucun sens si plus tard c'est trop tard.



:: par leeloo à 10:12 ::
 
 
mercredi, mai 12, 2004

Souviens toi

Je ne voulais pas.
Je ne voulais plus.
Quatre ans que je vois pointer le mois de mai avec appréhension.
Il faut arrêter. Il faut oublier.
Tout ça est terminé.
Il faut avancer.
Le temps n'effacera pas ces souvenirs.
C'est lui qui l'a fait, quatre ans plus tot.

Lui, c'est rien, c'est personne.
Il est entré un mois dans ma vie, il est resté un an dans mon coeur.
Il m'a rendue heureuse sans le vouloir, il m'a détruite sans le savoir.
Je ne voulais pas en parler. C'était il y a quatre ans, ça a commencé il y a quatre ans, ça s'est terminé il y a quatre ans, c'était court, et c'est loin, j'ai vécu depuis, j'ai survécu, j'ai souri, j'ai aimé, même si je n'ai jamais oublié.

Je ne voulais pas en parler, j'ai résisté une semaine, mais Manon m'a parodiée en citant le 5 mai, et PPDA nous remet en mémoire depuis un mois le débarquement du 6 juin 44, le suicide du 30 avril 45, l'armistice du 8 mai 45, la défaite du 7 mai 54... et même si je me suis calmée depuis que je suis avec mon chéri, je suis toujours au fond de moi une maniaque des dates (demandez au dr gonzo).
Moi aussi je veux jouer.
Moi aussi je veux me souvenir. Moi aussi je veux me remémorer mes victoires, mes défaites, mes joies, mes blessures. Moi aussi j'ai une histoire. Moi aussi j'ai aimé, moi aussi j'ai haï.
Et même si les amis avec qui j'ai partagé ces bons moments n'en sont plus aujourd'hui, je sais qu'ils ont vu passer le 12 mai, l'un d'eux m'a écrit hier alors que je n'avais plus de nouvelles, les autres se souviennent en silence, pour ne pas remuer les sourires du passé qui deviennent des douleurs au présent. Je sais que je ne suis pas seule, que tout ça a existé, que le temps est passé dessus, mais que mai en ravive le souvenir tous les ans.

Je l'ai aimé le 5 mai 2000 après avoir rêvé de lui. On est sorti ensemble le 5 juin 2000. On a rompu le 3 juillet 2000.
Il est entré dans mon coeur en une nuit, il en est sorti en un an.
Mais notre relation a été de durée si disproportionnelle à l'amour que j'avais à lui donner, qu'elle m'a toujours paru inachevée.
Inachevée, non pas qu'on va la reprendre là où on l'a laissée, mais comme une oeuvre qu'un artiste n'a pas eu le temps d'achever avant de mourir.
Inachevée parce que je n'ai pas eu le temps de connaitre ses défauts et d'arrêter de le voir comme cet idéal des débuts de relation, cette perfection qui l'a rendu inoubliable.
Je l'ai aimé comme c'est pas permis, comme dans les romans, comme je suis heureuse d'avoir aimé.
L'année qui a suivi notre rupture, j'ai souffert comme on ne devrait pas souffrir à seize ans. Mais j'ai muri plus qu'il ne l'a fallu à cet age là.
J'ai muri comme ces gens qui ont trop vécu, que la vie a lassé; à seize ans, j'étais blasée, fatiguée. Je n'exagère rien, c'est avec un recul de quatre ans que je dis ça.

Avant le 5 mai 2000, j'aimais quelqu'un depuis un an et demie. Le 13 mai, une semaine après le 5, ce jeune homme, qui n'avait jamais voulu de moi depuis tout ce temps, a essayé de m'embrasser alors que, depuis une semaine, j'avais enfin tourné la page. Les deux semaines qui ont suivi, j'ai hésité entre les deux, celui d'il y a un an et demie, et celui d'il y a une semaine. L'ancien de gauche, et le nouveau de droite.
Vous connaissez la suite. J'ai tourné à droite.
On sera à nouveau un 13 mai quand, trois ans plus tard (l'année dernière), celui de droite que vous "connaissez" (l'officiel) se manifeste dans mes choix.
Mais cette fois-ci, je resterai à gauche.
Un an déjà.
Aujourd'hui, je sais que j'ai eu raison, mais l'année dernière, je n'avais pas mieux compris que vous.
Ma raison, si; mes séquelles, aussi: il y a quatre ans, une histoire trop courte et trop longue à la fois a fait de moi celle que je suis aujourd'hui. Celle qui préfère la sécurité à la nouveauté, garder ce qu'elle a construit à gauche à risquer de s'embarquer dans une histoire longue et émotionnellement éprouvante à droite.
Je n'aimerai sans doute plus comme j'ai aimé il y a quatre ans, mais aussi intensément que j'aie pu l'aimer, ce n'était qu'un idéal.
Alors que mon chéri, je sors avec depuis (beaucoup) plus d'un mois, et je l'aime depuis (beaucoup) plus d'un an, et ça fait longtemps qu'il a cessé d'être l'idéal qu'il était à nos débuts. Alors il n'y a pas lieu de comparer.

D'ailleurs il n'y avait même pas lieu d'en parler.

Mais je n'arrive pas à survoler ces dates sans m'arrêter.
J'avais décidé de ne plus le montrer. De feindre de les ignorer. Mais c'est presque impossible.
Un jour je réussirai peut-être à vous expliquer pourquoi le 12 mai fut si inoubliable. J'ai déjà essayé l'année dernière, mais je n'y suis pas parvenue.
C'était juste des faits, des sourires, des regards, des gestes, des paroles, le soleil, la chaleur, le tennis, le concert, la jupe, les tresses, le soir, les étoiles, la nuit, l'église, les rues, le silence, l'orchestre, les gens, les amis, les marches, les grilles, les arbres, l'air, et lui, et moi.
Un jour je ferai sortir ce quelquechose en moi qui me fera comprendre pourquoi le 12 mai 2000 est devenu le 12 mai, pourquoi je le revis intégralement à chaque fois que j'y repense, et pourquoi j'ai toujours l'impression que mon coeur ne suffit jamais à le raconter.

En attendant, aujourd'hui, 12 mai 2004, je suis allée au tp pourri et inutile -qui n'était pas si pourri et inutile, et je n'ai pas vu mon ex prof de maths aux yeux bleus.
Qu'est-ce que je croyais?
De toute façon, ne serait-ce que parce qu'il a fait froid, cette année non plus, aujourd'hui n'était définitivement pas un 12 mai.


P.S. Pour ceux qui ont suivi les commentaires, j'ai défié Marvin et Manon d'écrire un Leeloo style post, défi qu'ils ont relevé avec brio. Ils comprennent maintenant mon calvaire d'écrire avec des gras et des italiques, et je comprends le votre de lire des phrases de trois mètres de long dans un post de six mètres de haut (j'ai un un effort, remarquez). Je vous invite à les lire aux 6 et 7 mai. (par contre ils ne lient pas leurs posts, pas de lien direct donc)



:: par leeloo à 18:31 ::
 
 

Je n'écrirai pas sur ce blog qu'on est le 12 mai

Je n'écrirai pas sur ce blog qu'on est le 12 mai.
Je n'écrirai pas sur ce blog qu'on est le 12 mai.
Je n'écrirai pas sur ce blog qu'on est le 12 mai.



:: par leeloo à 00:19 ::
 
 
vendredi, mai 07, 2004

Bon bah vue l'heure... on peut dire que j'aurais essayé

Mais je crois que "nuit paisible" pour les concepteurs de tisanes, ça veut dire "tranquille, t'auras pas sommeil de toute la nuit".



:: par leeloo à 03:29 ::
 
 
mercredi, mai 05, 2004

Bon je veux bien

... que je me sois réveillée à huit heures sans réveil
... que ma tête fût juste un peu lourde
... que, bien que malade, je fusse tout-à-fait apte à aller à ce tp
... qu'après avoir pesé le pour et le contre j'aie délibérément choisi de rester au lit
... que ma conscience, sensiblement plus lourde que les autres fois, m'ait dictée de me lever
... qu'elle m'ait presque empêchée de me rendormir.

Je veux bien que je n'aie pas du tout touché à mon projet que je comptais avancer à la place de ce tp, comme je l'aurais fait pendant.
Je veux bien que j'aie passé ma matinée à lire dans mon lit, sans avoir pris un cachet.
Je veux bien que ça fasse le troisième cours que je rate depuis le début de la semaine.
Je veux bien qu'on veuille me faire perdre cette mauvaise habitude que je suis en train de prendre.

Mais quand même...

... c'est la première fois que je ne vais pas à ce tp POURRI, bien qu'il ait toujours été POURRI
... je voulais juste écourter ma journée de ces trois heures INUTILES parce que j'étais malade
... je voulais juste ne pas me trainer comme hier dans une trop longue journée parce qu'en plus j'ai mes règles et j'ai super mal
... je voulais juste dormir un peu plus parce que pour une fois je travaillais en monome.
Je n'aurais même pas raté ce cours si j'avais été en binome.

Alors quand même, c'est pas gentil de jouer avec ça, alors que ça fait trois mois que j'attends désespérément ce moment.
C'est pas gentil de m'avoir rendue moins malade qu'hier pour me donner le choix d'aller ou non à ce cours.
C'est pas gentil de ne pas m'avoir clouée au lit directement.
C'est pas gentil de m'avoir réveillée à la bonne heure sans réveil.
C'est pas gentil d'avoir tout fait pour me faire culpabiliser maintenant.


Et pis toute façon...

...il n'avait rien à faire là!
...il n'avait rien à faire dans cette salle quand pour une fois je n'y étais pas!
Il n'avait rien à faire dans cette salle tout court!
Dans ce couloir!
Dans cette tour!
Dans cette partie de la fac réservée à l'informatique...

PUISQU'IL EST PROF DE MATHS!

PROF DE MATHS AUX YEUX DESESPEREMENT BLEUS!
DESESPEREMENT BEAUX!

Dans MA salle!
Pendant MON cours!
Alors que j'étais chez moi, dans mon lit, même pas malade, même pas en train de faire mon projet!

Alors que c'est la première fois que je sèche ce tp POURRI ET INUTILE!
Alors que c'est la première semaine de l'année, des deux années et même des dix-sept années précédentes que je sèche plus de deux cours!
Alors que ça fait même pas le quinzième cours que je sèche cette année, les deux années et même les dix-sept années précédentes.
Alors c'est vraiment pas gentil!

...

Et mon demi binome qui me dit que oh tu sais, il n'a pas changé...

Mais... mais... mais... justement....!




:: par leeloo à 19:08 ::
 
 
mardi, mai 04, 2004

Mais c'est normal qu'on ne voie pas la lune

Puisqu'elle a profité de l'agitation générale pour s'éclipser.

...


Bon en même temps, j'suis malade hein.



:: par leeloo à 21:58 ::
 
 
lundi, mai 03, 2004

Coucou!

Je passais par là, j'ai vu de la lumière et je suis montée.
Pour vous dire bonjour un peu.
Ouais et pis c'est pas comme si j'étais pas là. Je passe sur mon blog, je passe sur vos blogs, mais j'y peux rien si y a rien de nouveau, je vais pas parler toute seule.
J'y peux rien aussi si vous vous êtes tous mis à poster à partir du 29 avril, jour où je me suis dit que vous deviez être en train de faire votre projet aussi, et que vous aviez surement pas le temps de poster non plus, et que donc c'était pas la peine de passer chez vous. Et pif paf pof, vous avez pondu pleins de beaux gros posts en quelques jours, ça non plus c'est pas ma faute.
Je rattrape, je rattrape, j'ai déjà commenté par ci par là (à droite à gauche).
Bon tout ça pour dire que si je poste aujourd'hui, c'est surtout pour pas que ça fasse une semaine.
Et pis aussi, je veux une caravane.



:: par leeloo à 16:55 ::
 
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