about mail archives liens  
 
mardi, avril 27, 2004

Matin story

Elle, lui, enlacés sous l'abribus.
Lui, elle, deux arrêts après le mien.
Elle, lui, aperçus à travers la vitre.
Lui, elle, un dernier calin avant de partir.

Elle, lentement, monte dans le bus.
Lui, ne la quitte pas des yeux.
Elle, devant la porte vitrée, sourit.
Lui, derrière la porte vitrée, attend.

Elle, lui fait un signe de la main.
Lui, lui rend son signe de la main
Lui, retourne chez lui, pensif.
Elle, baisse les yeux, soupire.

Je la regarde et lui souris.
Relativise, ma grande. Moi c'est pas un bus que j'ai pris, mais un train...



:: par leeloo à 19:26 ::
 
 
lundi, avril 26, 2004

Comment je suis finalement revenue plus tôt que prévu

... Ou comment j'ai fini mon projet en trois soirées au lieu de deux semaines.
C'est comme ça, on a la classe ou on ne l'a pas.

Depuis le dernier post, j'ai beaucoup réfléchi.

"je ne peux pas aller tout droit sans être d'abord allée à gauche, et je ne peux pas aller à droite sans être d'abord allée tout droit, donc je ne peux pas aller à droite sans être d'abord allée à gauche"

"donc si je vais à droite c'est que je sais déjà qu'à gauche c'est pas possible"

"ah ouais mais là si je vais à gauche je peux encore aller à droite après, alors que si je vais à droite je ne peux plus aller à gauche après"

"si je fais ça, je vais aller droit dans le mur en voulant aller à droite"

"l'idéal serait le chemin soit tout droit, ou que ça marche directement à gauche parce que sinon ça va être long"

"en fait les deux chemins sont les mêmes sans les impasses, mais avec, c'est plus rapide à gauche"


Oui tout-à-fait, en bonne infatigable nostalgique que je suis, j'ai commencé à regretter de ne plus avoir de terribles dilemmes, alors je remercie mes profs d'infos de m'avoir redonné l'occasion de réviser mes directions.

Ça c'est la preuve que j'ai la classe.

Et ça, c'est ce que j'ai appris en cours aujourd'hui. (si vous n'arrivez pas à lire mon écriture, y a la traduction au dessus)

Y a pas à dire, mes profs, ils savent parler aux Leeloo.



:: par leeloo à 00:16 ::
 
 
vendredi, avril 23, 2004

Long post certes mais ça faisait longtemps non? (et puis je reposte pas avant quelques temps)


Et si la vie vous laissait une chance de tout recommencer?

Et même si nos raisons nous séparent
Même si l'on vit cet amour comme un art
Même si parfois on fait semblant d'y croire
Autant le vivre même un peu

Ces deux semaines ont paru longues, la première parce que j'ai fait tellement de choses à gauche qu'elle a semblé durer plus d'une semaine, la deuxième parce que j'ai gardé tellement de souvenirs d'à gauche que je me suis fait chier ici. En bonne infatigable nostalgique qui se respecte, j'ai mis du temps à émerger, si bien que les deux jours qui ont suivi mon retour, j'ai commencé et terminé la prochaine fois de Levy (à Primate: mieux que sept jours pour une éternité mais n'atteint toujours pas le niveau des deux premiers) et je l'aimais de Gavalda (à Cora: je l'ai trouvé bien), c'est pour dire comme je n'ai rien fait. Après j'ai passé mes journées à me faire du mal en triant les photos et je n'ai repris mon projet qu'hier soir.
Si on m'avait dit, il y a deux semaines que je reviendrais en autant de morceaux...

Le titre de ce post est le titre que j'aurais donné à un post si je l'avais écrit il y a mois. Aujourd'hui le titre est le même, mais la perception a changé. J'en reviens toujours à ce dilemme d'à droite à gauche auquel les évènements se sont si bien prêté ces dernières semaines en me confortant dans l'idée que j'ai fait le bon choix.

Elle, ça faisait plus de quatre ans qu'elle était avec lui. Je les ai presque connus en même temps et autant je la jalousais presque de vivre avec quelqu'un qui frolait à ce point la perfection, autant je trouvais qu'ils allaient si bien ensemble que c'était le dernier couple que je voulais voir se défaire. Elle, enfant unique, a toujours eu l'habitude que l'on cède à ses caprices. Lui, enfant unique, l'a toujours comblée comme on l'a fait avec lui. Lui, est parti en province pour poursuivre ses études. Elle, est restée ici et a croisé la route de lui.

Je me souviens, il y a presque un an, la plupart d'entre vous me conseilliez de virer à droite, de profiter de ma jeunesse, de ne pas plonger davantage dans une relation devenue disproportionnellement sérieuse à mon age; ce qui était tout à fait légitime puisque vous avez juste fait que ce que je n'ai pas eu le courage de faire: écouter mon coeur.
Je ne sais pas vraiment ce qui m'a empêchée de prendre la route de droite, alors que mes sentiments pour lui de droite se développaient aussi vite que ceux pour lui de gauche s'estompaient. Sûrement le manque de courage, la paresse de devoir tout recommencer. La conviction, aussi, que tout ceci n'était qu'un débordement de sentiments du à une routine qui peu à peu avait consumé ma relation avec lui de gauche, alors qu'une forte complicité naissait avec lui de droite; un trop-plein d'amour à distribuer, que la distance a accumulé au fil des jours, des mois, et qui mettait ma fidélité à l'épreuve. Toujours est-il que je n'ai pas tourné à droite, quitte à aller droit dans le mur disais-je. Une goutte de raison dans l'océan du coeur.
Ce qu'elle n'a pas fait.

Elle a cédé.
Elle a cédé à des sentiments qu'elle a pris pour de l'amour, qui en étaient surement, mais un amour si vif et si soudain qu'il ne pouvait être qu'un sentiment égaré qui a sauté trop d'étapes. De l'attachement, de la tendresse et du manque, que quatre années de relation dont trois dénudées de passion ont pris pour un coup de foudre, que quatre années de stabilité dont deux de lassitude ont pris pour une délivrance.
Elle est sortie avec lui presque deux mois pendant qu'il était en province.
Elle est sortie avec une image de lui, un lui que son besoin de nouveautés, de changements, a idéalisé.

Je l'ai su il y a seulement un mois, mais pas par elle. Par lui. Elle sortait avec lui et il ne le savait pas. Je déplorais son choix mais je l'enviais un peu. Elle avait deux ans de plus que moi, mais venait de gagner un mois de jeunesse. Un mois de flirt et de passion. Pour vivre heureux vivons cachés. Un mois de bonheur et d'interdits.
La vie lui a laissé une chance de recommencer, et elle l'a saisie. Elle.
Moi, à mi-chemin entre couper ma route de gauche et oublier celle de droite, j'avais décidé d'aller tout droit pour prendre du recul et pour éviter le mur. En bas.
Là-bas (c'est le cas de le dire), après une semaine de soirées solitaires sur le pont d'un bateau à admirer sur le Nil les reflets d'une lune pleine comme ma tête, j'ai réalisé que ce n'était pas avec lui de droite que je voulais partager ces moments privilégiés.
A mon retour, même nos retrouvailles n'ont pas ravivé l'étincelle qui animait mon coeur à chaque fois que je le voyais, les trois mois précédents.
J'ai réalisé aussi sec combien je l'avais idéalisé, combien la perfection ne lui collait pas à la peau, et avec quelle rapidité ses défauts éclipsaient ses qualités.
J'ai juste gardé ce qu'il avait de meilleur, ce de quoi j'aurais du me contenter depuis le début: son amitié. Et je suis restée à gauche.
La flamme, qui avait fait de lui le privilégié qui reçut mon dernier coup de fil avant de décoller pour l'Egypte, s'est éteinte aussi vite qu'elle s'était allumée.

Quand, à son tour, elle m'a annoncé sa relation avec lui, je me suis rendue compte qu'elle n'était pas heureuse. Lui semblait tellement comblé que j'avais cru à un bonheur réciproque. Surement cette réciprocité a t-elle existé, mais peut-être a t-elle été, pour elle, de plus courte durée que ce que j'imaginais.
C'est ça l'égoïsme, être heureux dans son couple même quand l'autre ne l'est pas.
Il y a quatre ans, j'ai laissé partir le mec que j'ai le plus aimé de mes vingt années de vie, au prix, après, d'une longue déchirure de treize mois englobant un 14 janvier, parce que mon bonheur d'être avec lui n'était pas partagé et qu'il était trop lache pour me quitter.
Lui n'en a rien fait. Il l'a gardée à ses cotés en la sachant malheureuse et rongée de remords; en l'assommant d'excuses après chacun de ses reproches et en recommençant après. Il était amoureux certes, mais l'amour rend aveugle des défauts de l'autre, pas de ses soucis.
Elle n'était plus heureuse avec lui. Elle n'était pas, avec lui, la princesse qu'elle était avec lui. Elle m'a raconté au cours d'une longue discussion combien il lui manquait, mais qu'elle était toujours amoureuse de lui. Quand j'ai évoqué l'éventualité d'un conflit entre sa volonté d'indépendance et de nouveautés, et son rapprochement trop soudain avec lui, entrainant la confusion de sentiments d'autres natures qu'elle prenait pour de l'amour, elle a marqué un temps de silence avant de répondre évasivement "peut-être..."
Elle était déchirée entre sa volonté de retourner à une vie sans surprises mais avec quelqu'un qui l'aimait et la respectait, et celle de continuer à la pimenter avec quelqu'un qui l'aimait mais avec qui elle n'avait pas d'avenir.
Alors comme moi, elle a choisi de prendre du recul en partant en vacances. Mais avant même qu'elle n'ait eu le temps de faire sa valise, il a eu vent de son infidélité et l'a quittée.
Quelques jours plus tard, suite à une maladresse de trop de sa part, elle l'a quitté à son tour, réalisant trop tard qu'elle aimait toujours lui.
Droit dans le mur.

A chaque fois que j'y repense, j'ai l'impression de me retrouver dans pile et face. A part que pour réadapter le film à mon histoire, il faudrait l'appeler gauche et droite. Et non gauche ou droite. Comme si, au lieu de me dire "voilà, t'as choisi d'aller à gauche, tu ne sauras jamais ce qu'il se serait passé si t'étais allée à droite", on me montrait à quoi ma vie aurait ressemblé cette année (eh oui presque un an) si je m'étais engagée dans l'autre virage. Ça me trouble mais me conforte en même temps dans mon choix, même si j'aurais préféré que ça n'arrive pas, car elle est une amie qui m'est chère.

Il y a deux semaines, j'étais convaincue que contrairement à ce qu'elle prétendait, elle n'était plus amoureuse de lui, et que c'était le fait de l'avoir perdu qui avait ravivé de vieux sentiments qui s'emietteraient derrière elle en quelques semaines au fur et à mesure qu'elle continuerait sa route, toute seule, tout droit.
Il y a deux semaines, je pensais aussi que je partais à gauche pour la dernière fois et que je profiterais du fait qu'il parte faire ses études en Amérique du Nord l'année prochaine pour marquer une pause, plus ou moins longue, plus ou moins définitive, dans notre relation.
Mais il y a dix jours, en vivant ce séjour comme le dernier, j'ai réalisé sans le perdre ce que j'aurais réalisé après l'avoir perdu. Ce genre de choses que je réalise toujours trop tard et qui font de moi l'infatigable nostalgique que je suis. A part que cette fois-ci, je l'ai réalisé à temps.
Je me suis rendue compte de la chance que j'avais d'avoir un copain comme lui, d'être aimée par lui, et d'être encore avec lui après tout ce temps malgré la distance.
Je pensais qu'avoir détourné mes sentiments de lui pendant trois mois signifiait que les sentiments forts que je lui portais au début de notre relation étaient irrécupérables. Je pensais que jamais il n'arriverait à la hauteur de ce "lui" que j'avais idéalisé au début de notre relation. Je pensais que malgré tout l'amour et la passion qui ont rendu le prélude de notre histoire si beau et inoubliable, j'avais laissé les années dissoudre cet amour, et ne parviendrais jamais à honorer les promesses d'avenir qu'on s'était faites naïvement.
Mais je me suis rendue compte que je m'étais trompée. Qu'on avait encore beaucoup à vivre tous les deux et que j'avais à nouveau une perspective d'avenir avec lui. Qu'un besoin de changement était fréquent dans une relation (à distance qui plus est) mais qu'elle n'altérait pas forcément les sentiments dans leurs racines. Qu'il était fort probable qu'elle soit encore amoureuse de lui, et j'espère qu'ils seront à nouveau ensemble car son histoire aurait pu être la mienne, et elle ne mérite pas moins que moi de retourner à gauche.

J'ai attendu une semaine pour écrire ce post, pour être sure de ce que j'avançais. Pour être sure que ce manque insatiable n'était pas le fruit de mes infatigables nostalgies et qu'il ne s'estomperait pas au bout de trois jours.
Je suis sûre de moi maintenant. Dieu sait ce qui m'a empêchée de tourner à droite l'été dernier, et qui m'a poussée à dire à gauche que j'avais encore envie de continuer avec lui alors qu'on était à deux doigts de rompre, mais je l'ai échappée belle.
Et dans quelques mois, je le laisserai partir en Amérique, parce que ça va illuminer son CV, mais je ne le laisserai pas filer.
Ce sera toujours une relation à distance, il sera plus loin certes, mais qu'est-ce que l'Atlantique si ce n'est l'océan de nos coeurs enrichi d'une goutte de raison?
Et puis il sera toujours à gauche.


J'ai beau me dire
Qu'il faut partir
Je ne veux qu'il
Je ne veux qu'il

Marc Lavoine & Claire Klein


:: par leeloo à 21:13 ::
 
 
vendredi, avril 16, 2004

De retour de chez les vaches



... trouvez l'intru ...

Un blog qui merde (je ne vois que la bannière), deux pc à formater, du linge sale à étendre, un colis à aller chercher, une école qui ne prend plus de dossier, un projet qui a disparu, un compte en banque qui fait la tête, un chéri qui me manque. J'adore les retours.
D'ailleurs simple constat par rapport au post précédent, je suis en fait qu'une infatigable nostalgique, tout ce que je quitte me manque, j'avance en regardant en arrière, mais au moins j'avance dans le bon sens.
Alors je fais encore un bout de route avec le rétro et je m'arrêterai dans une aire de repost. J'arrive.



:: par leeloo à 19:24 ::
 
 
lundi, avril 12, 2004

Pouce

Je vous avais dit que je serais occupée jusqu'au 25 juin, c'est vrai. Depuis le post de jeudi, j'ai eu (vendredi) une soirée, (samedi) un lendemain de soirée, et (aujourd'hui) un anniversaire. Dès la fin de la semaine, je travaille mes deux projets, l'un jusqu'à la soutenance de mi-mai, l'autre jusqu'à celle de juin, entre temps je réviserai mon partiel de maths de la rentrée, puis mes examens de juin qui se termineront au plus tard le 25 juin, modulo une grève des enseignants. Alors quand je dis que je suis occupée, il faut en croire Marvin, je ne mens pas.
Par contre, je vais faire une trève de quelques jours puisque demain je pars à gauche jusqu'à la fin de la semaine.
Ça me fera du bien de changer d'air. J'ai mal digéré mon vendredi soir, et depuis un petit cafard me ronge amèrement le coeur.

J'ai depuis quelques temps dans ma tête une petite liste des écoles que je pourrais éventuellement intégrer après mon DEUG si l'envie me prend, et accessoirement si elle prend aussi le jury de sélection. Et depuis ces quelques temps, je n'ai pas trouvé le courage de poser ma candidature à une seule de ces écoles, pour la simple raison qu'elles sont toutes en province et qu'en plus de m'éloigner de l'ambiance universitaire, elles m'éloigneront de ma famille, mes amis, mes points de repère.
Mais il y a dix jours, mes sautes d'humeurs pré-menstruation aidant, je me suis mise en rogne contre des amis de fac qui me sont ô combien chers. Et dans un élan de révolte, j'ai posé ma candidature. Carpe Diem.
Depuis, on s'est réconciliés.
Personnellement, je sais qu'avec ou sans ces petites tensions, je me serais inscrite, et qu'avec ou sans mes états d'ame historiques, si je suis prise, je partirai. Mais si je pouvais tracer ma route en versant le moins de larmes possible, ça m'arrangerait. Si je pouvais éviter d'être nostalgique pendant des jours après chaque soirée passée en leur compagnie, ça m'arrangerait. Si je pouvais éviter de penser que très loin là bas, les rues animées le jour ne nous appartiendront plus la nuit quand on les arpente à quatre heures du matin; que très loin là bas, ils ne seront plus là pour m'initier à la guitare au milieu de la nuit, ils ne seront plus là pour se moquer de moi quand je cale en voiture, ils ne seront plus là pour me masser le dos quand je suis énervée, ils ne seront plus là pour que je pose ma tête sur leur ventre pendant qu'ils dorment à même le sol, ça m'arrangerait. Je sais que la probabilité que j'intègre l'une de ces écoles est faible, mais j'espère y parvenir, et si je pouvais éviter d'être chargée de souvenirs en remplissant mes dossiers, ça m'arrangerait.
Alors pouce.
Si en m'éloignant quelques jours de la capitale je pouvais m'éloigner définitivement de ces (éphémères) soucis, comme je l'ai déjà fait une fois, ça m'arrangerait.
En attendant, si je m'écoutais (et si j'avais fait mes valises), je vous parlerais d'encore autre chose, mais je crois que cette fois-ci, il est préférable de laisser le temps rouleau-compresser tout ça, et de prendre la route de gauche avant de voir qu'il y en a une autre à droite.



:: par leeloo à 01:51 ::
 
 
jeudi, avril 08, 2004

Jamais deux sans trois

Hier soir, j'aurais presque pu raconter tout ça en rigolant, mais là je suis bien trop fatiguée. Et comme je sais que je serai fatiguée jusqu'au 25 juin, je préfère le raconter ce soir.
Vous vous souvenez de la dernière fois où vous deviez vous souvenir de l'avant-dernière fois où mon pc a fait grève à cause de Linux? Si vous vous en souvenez pas, je suis sure que le post est encore sur la page principale tant il est récent, je peux même vous dire que c'était le 25 mars, et avant d'être surpris vous avez le choix entre "j'ai bonne mémoire" et "je sais me servir de la barre de défilement".
Bon quoi qu'il en soit, je vous rappelle la fin de l'épisode (donc ceux qui n'ont pas vu le début peuvent déjà arrêter de lire sinon y a pu de suspense), j'ai rompu avec Linux. Et là ceux qui pensaient comme moi que c'était la fin de la série, ils vont être choqués, paske nan, il se trouve que la série continue MEME SANS LINUX!
Eh oui! Déjà suite au post précédent, j'ai réussi mon labyrinthe (projet) en fin de compte après avoir refait mes fonctions et pété des cables tout mon week-end, tout ça pour quoi? Tout ça pour une faute de frappe! Un y à la place d'un x! Des fois vraiment...
Bref, hier soir, j'ai donc voulu avancer mon labyrinthe dont je dois finir la deuxième partie pour vendredi. Peut-être a t-on voulu me punir d'avoir laissé la blog-trotteuse en moi prendre le dessus sur la travailleuse, quoi qu'il en soit, je suis allée diner en plein milieu d'un post de Manon, et quand je suis revenue, le pc était tout noir et tout silencieux. Je crois qu'on dit éteint.
J'ai voulu mettre en route, pas de réaction.
Ce n'est pas ce soir que je saurais ce qui a fait sourire Manon.
J'ai débranché le fil qui alimentait le pc, et l'ai changé, des fois que le pc aussi... aurait pété un cable, aha.
J'ai donc rebranché mon pc avec un autre fil, toujours pas de réaction.
Comme on ne change pas les bonnes habitudes, j'ai appelé Pierre qui m'a dit que ça venait sûrement du boitier d'alimentation qu'y fallait que je change.
J'ai donc décidé que j'irais à Montgallet après les cours aujourd'hui. Mais si c'était pas ça?
J'ai donc appelé mon héros de l'autre fois de l'autre fois qui m'a dit que ça venait soit du boitier d'alimentation, soit de la carte mère, ce qui ne m'enchantait guère en cette période de l'année où mon compte bancaire faisait encore plus la tête que mon pc. J'ai alors appelé mon cousin pour me rassurer, pour qu'il me dise que c'était pas vrai tout ça, que c'était du bluff, mais non d'après lui, ça venait soit du boitier d'alimentation, soit de la carte mère, soit du processeur.
Là je me suis dis qu'y fallait arrêter d'appeler des gens parce que j'allais finir par devoir changer tout le pc.
En même temps, je me suis dis aussi que si j'achetais mon boitier, que je l'installais et que ce n'était pas ça, j'allais encore perdre du temps et de l'argent, or je n'en avais aucun en rabe. (ouais j'arrive à me dire pleins de trucs en même temps, c'est paske j'suis une fille) J'ai donc décidé de l'amener chez le docteur des pc qui me changerait la pièce cassée et pis basta, je perdrais un peu d'argent, je gagnerais un peu de temps, de toute façon le temps c'est de l'argent. J'ai donc passé une nouvelle soirée à lire (des livres), ce matin mon papa a amené notre ami chez le toubib, et ça y est il est guéri! Le boitier d'alimentation, ouf! comme ça pas de jaloux, ils ont tous les trois raison, tout le monde est content, surtout moi.
Mais le plus intéressant c'est que ça a sauté à cause... d'un coup de foudre!
Un petit orage et pffffiiiiou!

Quand on dit que l'amour rend aveugle...



:: par leeloo à 00:58 ::
 
 
dimanche, avril 04, 2004

Quatre quatre quatre

Ah bah vous pensiez pas que j'allais pas la refaire que même?
Ça arrive qu'une fois par an, y faut bien.
Quoi que en fait, aucun signe aujourd'hui, mais bon spa grave on est quand même le 04/04/04 et c'est quand même un jour important, parce que c'est le jour où j'ai eu la preuve que Marvin Le Rouge n'était PAS mon ex prof de maths aux yeux bleus!
Eh non, il disait vrai, il n'est pas lui!
Bon d'un coté ça m'aurait saoulée de devoir vouvoyer Marvin, hein.
Enfin il a les yeux moins bleus mais il n'est pas moins charmant, et toujours célibataire, des fois que mon lectorat féminin...
Et puis à défaut d'être mon prof de maths, il va devenir mon prof de java.
Et puis il va souvent à Issy... oui là bas... bon c'était un petit délire en juillet, personne doit s'en souvenir.
Et puis il peut vous dire quels produits sont en promotion immédiate (vous savez les autocollants sur les boites) dans les supermarchés.
Et puis quand il arrive pas à faire un truc, lui aussi se casse le cul plutot que la tête.
Et puis whO aussi a rencontré Beleg à Bercy, et même que les melons étaient chers.
Et puis j'ai oublié de lui "montrer" ce que c'était une sonnerie polyphonique.
Et puis il a eu une super idée pour vous qui nous/me/le lisez et SURTOUT qui nous/me/le commentez.
Mais ça, c'est pas à moi d'en parler, paske moi j'ai encore un labyrinthe à construire.



:: par leeloo à 17:44 ::
 
 
samedi, avril 03, 2004

Où ça un week-end?
(bis)

Moi je vois des vacances, ahahaha!



:: par leeloo à 21:36 ::
 
 
jeudi, avril 01, 2004

Enfin un long post!

























><{{{{{{°> <°}}}}}}><







:: par leeloo à 12:27 ::
 
Feedback by blogBack Blogger